- Article publié le 4 janvier 2017
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La direction de l’OPH s’acharne sur ses élus CGT. La CGT serait-elle indésirable à l’OPH d’Aubervilliers ?
– En février 2017, la Direction décide de la mobilité forcée de notre camarade Julien, fonctionnaire et agent d’entretien à Rabot, élu CGT au CE, à un an de la retraite. Il reçoit sa lettre d’affectation par huissier sur son lieu de travail. La direction a choisi l’humiliation.
– En mars 2017, la Direction décide la mise à pied conservatoire sans en préciser le motif et une convocation à un entretien préalable à sanction pouvant aller jusqu’au licenciement de notre camarade Djénéba, salariée de droit privé, responsable d’Agence adjointe, élue CGT au CHSCT, quelques mois après son retour de congé maternité. La direction a choisi la discrimination.
Nous demandons que la direction cesse ses attaques injustifiées contre notre syndicat.
Le climat social est irrespirable et la direction attise les tensions avec des mesures disciplinaires en direction d’une seule catégorie de personnel.
Quand notre directeur Général défile ostensiblement dans Paris le 18 mars avec un candidat à la présidence de la République dont le point n° 70 du programme dit : « face à la grande régression, en finir avec la souffrance sociale et la souffrance au travail. »
La CGT de l’OPH constate l’hypocrisie et le mensonge de la direction qui agit contrairement aux valeurs qu’elle affiche publiquement.
cgtophaubervilliers@gmail.com
avril 2017
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