Monsieur le Préfet,

Face à la pandémie et au manque de matériel, nos conditions de travail sont devenues extrêmement compliquées. De plus, viennent s’ajouter les incivilités permanentes de certains quartiers Lillois et alentours Roubaisiens, Tourquennois.

En effet, depuis plusieurs nuits, nous subissons inlassablement des agressions et multiples guet-apens sans parler de l’arrogance permanente des susceptibles auteurs des faits.

Puisque rien ne s’améliore, cela empire même depuis des années et ce malgré vos caméras piétons, nous sollicitons votre bienveillance afin d’obtenir des effectifs de police à nos côtés en permanence, afin d’assurer notre mission de Service Public d’Urgence dans les meilleures conditions possibles.

Apparemment, concernant les forces de l’ordre, il ne s’agirait pas d’un sous-effectif mais d’une éventuelle mauvaise répartition des effectifs selon le CHSCT exceptionnel, préfecture, police, gendarmerie et SDIS 59 de janvier 2018 au sujet des agressions que nous subissons quotidiennement. Nous allons finir par vous croire, car, en rentrant de nos nuits agitées (vers notre domicile) nous sommes contrôlés à de multiples reprises...Les effectifs existent donc...
Pour le personnel ainsi que notre Organisation Syndicale, l’heure n’est plus aux instances en mode « chambres d’enregistrements », ni même aux médailles, et visite(s) de sympathie du 31 décembre, mais bien aux actes.

Au-delà de notre agacement sur ce sujet récurent, nous restons persuadés de l’importance que vous porterez à notre requête et de l’intérêt des agents et des missions de service public que nous assurons au quotidien.

Monsieur le Préfet, veuillez agréer nos sincères salutations.

Le Secrétaire Général, Quentin DE VEYLDER.

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