Le printemps a enfin pris le dessus, distillant cette petite chaleur matinale qui apaise et allume le désir de m’attarder à la terrasse du café avant d’aller au boulot.

Ce matin, tout semble si tranquille dans ma ville… pourtant, ils sont là !
Pour être premiers, nombreux sont ceux qui ont joués avec le feu. Oubliant le danger du fascisme, ils ont contribué, peut-être malgré eux, à affaiblir les consciences de ce que sont ses idées nauséabondes.
Aujourd’hui elles s’enracinent dans notre quotidien jusqu’aux portes du pouvoir rappelant qu’aucun petit jeu, aucun compromis n’est possible avec le fascisme.

Il n’existe qu’une attitude face à lui : le combattre !

Un combat rendu difficile par plusieurs décennie d’une politique au service des puissants qui laisse sur le bord de la route tant de petits… mais un combat déterminant si nous voulons pouvoir faire prévaloir collectivement, au-delà de la réponse à l’urgence immédiate qui s’exprime dans les luttes, un autre choix de société.
La lutte contre l’extrême droite, contre le racisme et la xénophobie est inscrite dans les gènes de la CGT.

Alors dimanche 24 avril, la CGT appelle à ce qu’il n’y ait « pas une voix du monde du travail pour l’extrême droite, elle doit être combattue partout »

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